POSTUROLOGIE LES PARASITES POSTURAUX

« Les perturbateurs invisibles du système postural »
Les capteurs L’APPAREIL VESTIBULAIRE L’APPAREIL MANDUCATEUR L’APPAREIL VISUEL LES CICATRICES L’APPAREIL PODAL LA PROPRIOCEPTION

Le cerveau est en permanence bombardé d’informations qui lui sont envoyées par les capteurs sensoriels qui le renseignent sur l’environnement qui nous entoure, et la position de notre corps dans cet environnement. Ces informations sont considérées comme qualitatives et sont indispensables à l’équilibration.

Dans un système postural équilibré et en harmonie, on peut considérer qu’il n’existe aucune source d’information nociceptive (nocif = qui nuit).

On parle de parasites posturaux pour qualifier les sources potentielles de perturbation du système postural et donc de la posture. Ces sources sont aussi diverses que nombreuses car énormément de choses peuvent avoir une influence sur la posture. Le corps est incroyablement sensible et réagit sans cesse à son environnement pour s’adapter. Ainsi, les vêtements, les chaussures, les bijoux, les ondes électromagnétiques, la respiration, les émotions, la digestion, la posture au travail, les gestes répétitifs et bien d’autres encore sont autant de sources potentiellement perturbatrices à envisager.

Nous considérons ici que l’appareil manducateur et les capteurs proprioceptifs secondaires comme la peau, les muscles, les articulations et les fasciae sont les parasites posturaux les plus fréquents et les plus pathogènes.

Nous allons donc rechercher systématiquement lors du bilan postural si :